Double parce que la mécanique à l'oeuvre dans cette machine théâtrale convoque à la fois l'objet marionnette et l'acteur.

Double parce que cette machine vise à se laisser dépasser, doubler donc, à emmener l'imaginaire du public malgré lui, le doubler, là encore.

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Le langage marionnettique est placé au centre du travail, en écho avec l'idée d'un théâtre qui questionne l'intime, sa relation avec soi-même et avec les autres. Le choix de l'objet transitionnel sur lequel décliner les bases du vocabulaire de la marionnette est alors déterminant, pour développer un langage visuel et corporel propre à chaque histoire.